Je plonge
La plongée sous-marine, avec bouteilles ou en apnée, permet d’observer au plus près la biodiversité des fonds marins du Parc. Les règles de bonne conduite sont importantes pour limiter son impact sur le milieu marin.
En plongée
- Lors du mouillage, j’évite la dégradation du site et notamment de la faune fixée (sur des roches ou des épaves), ainsi que des habitats fragiles comme les bancs de maërl et les herbiers de zostères.
- J’adapte la plongée à mon niveau d’expérience (le courant, la profondeur et la visibilité sont toujours des paramètres à prendre en compte). Ici l’eau peut être très turbide et trouble en raison des sédiments en suspension, et la visibilité fortement réduite.
- Je privilégie la discrétion : je choisis un site à un horaire de faible fréquentation et je privilégie une petite palanquée, moins de bruit, moins de bulle, moins de dérangement !
- Lors de la pratique, je fais attention à ma flottabilité et à mon palmage.
- Je touche avec les yeux : je ne nourris pas les animaux, ne les touche pas et ne remonte rien (si ce n’est un déchet !).
Je peux partager mes observations en plongée en utilisant le carnet de plongée naturaliste CROMIS de la FFESSM (Fédération Française d’Études et de Sports Sous-Marins) ou le carnet de plongée naturaliste BioObs.
Si j’observe des petites limaces, souvent colorées, lors de ma plongée, ce sont certainement des nudibranches. Je peux contribuer au projet de sciences participatives « Nudibranches des pertuis » en partageant mes observations sur le site web FAUNA et sur le carnet de plongée naturaliste CROMIS.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur la page Facebook du projet : Nudibranches des Pertuis